Le bâton de marche

26.4.05

 

Comic strips

Questionable content [en],
Instant classic comics [en],
Robot Stories [en] et Switchcats [en],
Neil G [en],
Fallen [en],
Okay Pants [en],
Reality Syndrome [en],
Sam and Fuzzy [en],
Wigu [en],
The white ninja [en],
Niego [en],
Jim Burgess [en],
One man knife fight [en],
John and John [en],
Sexyloosers [en],
Sluggy freelance [en],
Little Gamers [en],
Megatokyo [en] ou [fr],
Penny Arcade [en],
Least I could do [en],
Redmeat [en],
PhD comics [en] bien sûr,
Lapin [fr] aussi,
Frantico [fr] évidemment,
Butternutsquash [en]
et puis, en pause pour le moment Zach et Günter, Lula et les autres [fr].
Liste à poursuivre, mais pour le moment, ca (va) flingue(r) déjà suffisamment de journées comme ça.
Non ?

[edit du 27/04, midi :] Turkey comics [fr] et la véridique aventure d'un email [fr ou en, au choix].

[edit du 27/04, 19h :] On remercie Beleg :
Demian5 (j'avais parlé de "when I am a King" il y a longtemps),
Lowbright [en],
Beecomix [en],
Todd Bot [en],
Diesel Sweeties [en],
Wapsi Square [en],
Real life comics [en],
Count your sheep [en],
Sinfest [en],
General protection fault [en],
PvP [en]

[edit du 10/05 :] Indietits rocks !!!

[edit du 13/05 :] Sore Thumbs,
The Coffee Achievers,
Nothing nice to say

24.4.05

 

Philo de métro (II)

"Les gros s'arrangent, les petits se mangent."
 

Philo de métro

"Maintenant on met la charrue avant les boeufs : on fait voter une Constitution alors qu'on n'a pas encore fait la Révolution."

12.4.05

 

Dit

"Je suis le produit d'une génération qui ne se définit plus par rapport à un milieu ou à une histoire commune. Les Anciens ne nous ont pas transmis le goût de la lutte (contre quoi ?), les secrets des générations précédentes. Plus de grands ennemis à combattre, je fais partie d'une génération paumée et sans repères autre que celui de la consommation à tout va.

Là où domine le grand capital et l'individualisme disparaît l'esprit d'union et de force.

Autant dire un combat contre nous-mêmes.
"

- Fee_Ryne -

4.4.05

 

Art, voyage et technologie

Lorsqu'on voyage en pays étranger, rien de tel qu'un petit dictionnaire afin de pouvoir suivre un minimum. Surtout lorsqu'on parle un peu le français dans ce pays.

Sur Gmail, les poissons d'avril n'en sont pas. Après avoir démarré dans la blague, ils annoncent leur intention d'augmenter le stockage possible. 2061 mega à cette heure, et ça continue de grimper. Autant dire qu'ils relèguent leurs concurrents... au tapis.

L'association Créasac organise, les 18 et 19 juin prochains, une exposition d'artistes amateurs. Condition : être essonnien. Plus sur le blog.

Nouvelle série de photos du Cameroun chez Petit Frère.

En parlant de photos, certaines parviennent à me tirer dans un état de nostalgie profond. Un exemple ? Celui ci. Sur le site des deux Suisses autour du monde.

1.4.05

 

Pandore, Hopper et Gomm

Hier soir aux 18 marches, petite salle du 77, c'était soirée rock.
Pour commencer, le trio de Pandore : une chanteuse guitariste, à la voix surement très jolie, un bassiste... euh, enfin, un bassiste, et un batteur (logique, non ?). J'ai pas aimé, et si un jour vous ouvrez la boite (facile), je crois que vous comprendrez vite pourquoi.

Peut être que les meilleures bonnes surprises sont celles qui commencent le plus mal ?
Toujours est il que Hopper, qui leur a succédé, s'est montré brillant. Emmené par deux chanteuses guitaristes, les compos du dernier album se sont mêlées à celles du prochain pour nous laisser apprécier l'intelligence du placement des voix et la complicité des lignes de guitares. La section rythmique, un bassiste discret et un batteur inspiré, assurant les fondations, les deux chanteuses nous ont montré (prouvé ?) que l'on pouvait rivaliser avec les formations anglo saxonnes tout en étant né de ce côté ci.
J'ajouterais qu'auditivement parlant, leur set fut le mieux mesuré, preuve s'il en est que nul n'est besoin de générer des hallucinations auditives chez le spectateur - deux heures après le concert, pour laisser une impression de patate des plus roboratives.

Gomm, pour finir, était la tête d'affiche de la soirée. Si les petits jeunes de Hopper m'ont semblé avoir "du métier", c'est là qu'on a réalisé ce qu'est un groupe professionnel (même s'ils ne sont signés "qu'en licence et distribution" chez Pias pour le moment).
Une pêche enthousiasmante, des morceaux qui ne l'étaient pas moins, le quatuor emmené par une chanteuse et un batteur complices m'a fait une putain d'impression.
Les concerts sont pour moi l'occasion de découvrir - c'était réussi - mais également de me décider (ou pas) à acheter de la musique. Destroy to perfection figure maintenant en tête de liste tourne sur la platine.