21.6.04
Linux (part two)
Une fois le saut décidé, il faut choisir sa réalisation : triple boucle piqué, double lutz (de belle facture), ou encore triple flip ?Un simple saut périlleux avant m'a amplement suffit. Je me suis intéressé un petit peu aux versions testées par mon paternel sur sa machine, et Knoppix m'a paru un choix à la fois sûr, relativement simple et tout aussi complet.
En effet, bien que dédiée à l'utilisation nomade (càd pour ceux qui changent de poste de travail très fréquemment), cette version de GNU/Linux s'installe plutôt facilement sur un disque dur. Un des deux installé sur ma machine ayant été libéré au préalable, je n'ai pas eu besoin de faire une partition "particulière". Le choix du système d'exploitation se fait maintenant au démarrage, en utilisant une disque de boot comme "interrupteur" : rentrée, je démarre sous linux, sortie, sous windows.
Basée sur une distribution Debian, ma version knoppix 3.2 a pu être mise à jour facilement à l'aide des commandes "apt-get update", "apt-get dist upgrade" et "apt-get -f install", tapées à la main dans une console.
En changeant juste avant le fichier "source" (les adresses internet sur lesquelles votre ordinateur va récupérer les mises à jour des programmes installés), j'ai passé ma version de knoppix en unstable, ce qui m'a alors permis d'avoir les dernières mises à jour possibles (Debian étant une version communautaire, son développement prend plus de temps, et les versions dites stable mettent plus de temps "à sortir").
Dire que tout s'est passé les doigts dans le nez serait mentir. En cours de route, de temps en temps, un message incompréhensible s'est pointé. Ou encore, une fois tout mis à jour, je n'arrivais pas à lire de mp3 : j'ai cru que ma carte son n'était pas reconnue.
Cependant, "l'esprit" de ce système d'exploitation est génial : "Si tu ne sais pas, demande. Si tu sais, partage !" pourrait être l'un de ses motto. Une recherche google, des questions en "live" sur IRC à des utilisateurs plus avancés, ou encore par mail... nombreux sont les chemins possibles pour trouver une solution.
Et je remercie plus particulièrement Keupon, Corsac et Tahorg, qui ont été mes guides.